Un an après son achat, je me décide à attaquer la restauration de cette randonneuse JO ROUTENS, je laisse les spécialistes nous en dire plus, place aux photos avant nettoyage
Joli vélo , des heures à passer mais le vélo est complet, et cela devrait donner un beau résultat. Bon courage.
l'étape que je déteste, enlever le vieux chatterton
et christophe ne me dis pas que j'aurais du le garder c'est au dessus de mes forces…
Normalement avec un dissolvant, type acétone en imbibant un chiffon, car la peinture déteste ce genre de dissolvant donc gaffe et de la patiente.
Au moins tu vérifieras la solidité de tes ongles.
tu peux le dire il est sec archi sec
l'étape que je déteste, enlever le vieux chatterton
et christophe ne me dis pas que j'aurais du le garder c'est au dessus de mes forces…
Normalement avec un dissolvant, type acétone en imbibant un chiffon, car la peinture déteste ce genre de dissolvant donc gaffe et de la patiente.
Ah fallait rien toucher !!! non je ?… après comme on avait pu déjà le dire, pratique assez courante à l'époque cette tresse (non tressé!) en plastoc. Ce Routens, semble bien dans son jus… modèle “moins chère” avec nombreuses pièces en acier… dont les roues (…je te surveille ? )
J'ai du mal à lire le numéro ??
Dans la dernière revue “Bicycle Quaterly” (article de Raymond Henry), il a un article sur Routens, d'une vingtaine de pages avec des photos de biclou… vu que c'est en Anglais et que j'ai un peu de mal, je n'ai pas fini de lire, et comprendre l'article.
En survolant l'article j'ai pu noter qu'il fabriquait dans les années 70, environ 200 vélos par an… moit/moit courses randonneuses. Dans les années 60, beaucoup moins et ce qui nous compliquer la vie : il y a des erreurs dans la numérotation!! des doublons ??